Sunday 2nd of January
2022: My first immersion. All that insecurity underneath machismo or toxic
masculinity, to put it in today's narrative. All that pain fuelling sibling
rivalry. All that vulnerability of just being. A cast driven by Phil with
Daniel Day-Lewis-style intensity. Beautifully filmed, crafted with boundless
empathy by Jane Campion. Whenever you feel like escaping the bolly-hollywood
zeitgeist or global saturation in gloom for that matter. Rating: 4.5/5
A few days later:
Watched over again, now rating tops 5/5. This is stunning cinema, not just
another movie. The multilayeredness can put the viewer off. But please don’t
give up. This is a depiction of our own reality with endless nuances that is so
hard to capture. Yet so telling. Just like with a text that seems like an
avalanche of perspectives, too dense, all mixed and thrown at you, such a movie
is an invitation to connect, to aspire to tame our prejudices.
Once the gist sinks
in, you realise that it has been a soulful as much as a mindful trip that is
also to be repeated again and again, here and in other contexts, to keep
exploring and discovering. Here emotions merely flow, they are not imposed
upon you. Riveting musical score too. The sort of experience that in this era
few stellar film directors like Jane Campion can deliver in similar vein with
Michael Haneke, Pedro Almodóvar, Asghar Farhadi, Paul Thomas Anderson, Quentin Tarantino,
Wong Kar-wai….
The Power of the Dog, le pouvoir d'enchanter
Dimanche 2 janvier 2022 : Ma première immersion. Toute cette insécurité sous-jacente au machisme ou à la masculinité toxique, pour le mettre dans le récit d'aujourd'hui. Toute cette douleur qui alimente la rivalité fraternelle. Toute cette vulnérabilité du simple fait d'être. Un casting dirigé par Phil avec une intensité à la Daniel Day-Lewis. Magnifiquement filmé, conçu avec une empathie sans bornes par Jane Campion. Un break chaque fois que vous avez envie d'échapper à l'air du temps bolly-hollywoodien ou à la saturation mondiale dans la morosité d'ailleurs. Note : 4.5/5
Quelques jours plus tard : Regardé à nouveau, maintenant la note atteint 5/5. C'est du cinéma époustouflant, pas juste un autre film. La diversité de sujets traités simultanément peut décourager le spectateur. Mais s'il vous plaît, n'abandonnez pas. C'est une représentation de notre propre réalité avec des nuances infinies qui est si difficile à saisir. Pourtant si révélateur. Tout comme avec un texte qui ressemble à une avalanche de perspectives, trop denses, toutes mélangées et lancées sur vous, un tel film est une invitation à se connecter, à aspirer à apprivoiser nos préjugés.
Une fois l'essentiel intégré, vous vous rendez compte que cela a été un voyage émouvant autant qu'un voyage conscient qui doit également être répété encore et encore, ici et dans d'autres contextes, pour continuer à explorer et à découvrir. Ici, les émotions ne font que couler, elles ne vous sont pas imposées. Partition musicale fascinante aussi. Le genre d'expérience qu'à cette époque peu de réalisateurs stellaires comme Jane Campion peuvent offrir dans la même veine avec Michael Haneke, Pedro Almodóvar, Asghar Farhadi, Paul Thomas Anderson, Quentin Tarantino, Wong Kar-wai….
Lee Kuan Yew: "I work from first principles, what will get me there. Let the historians and Ph.D students work out their doctrines. I am not interested in theories per se."
Je l'ai vu ce film puissant et déstabilisant !
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